Deuil


Au moment de la mort, l’Église témoigne de sa foi et de son espérance en la résurrection. Les prières qu’elle adresse à Dieu et les honneurs qu’elle rend au défunt (exposition du corps, rites d’encensement et d’aspersion d’eau bénite, etc.) expriment la foi chrétienne : la mort est passage vers Dieu, à la suite du Christ.

La mort dans le christianisme.
Quoi qu’il en soit de la douleur de la séparation, la mort, dans le christianisme, est comprise comme passage à la suite du Christ qui a connu la mort, dans la joyeuse espérance fondée sur la foi en sa résurrection. Pâques, la principale fête chrétienne, célèbre le double événement de la mort et de la résurrection du Christ, que les chrétiens comprennent comme la révélation ultime sur Dieu : Dieu lui-même, en Jésus Christ, a traversé la mort de l’homme. La mort et la résurrection de Jésus Christ manifestent donc la proximité de Dieu et son amour pour l’homme. Toute l’existence chrétienne trouve sa source dans l’événement pascal : la mort a pris un sens nouveau, celui d’une espérance en Dieu qui veut que l’homme vive pour toujours. Le chrétien attend la résurrection de la chair et la vie du monde à venir.

La célébration chrétienne des funérailles.
Le chrétien est appelé à affronter sa mort dans la confiance en Dieu : Dieu a ressuscité Jésus d’entre les morts, gage de la résurrection à laquelle le chrétien aspire. C’est pourquoi l’Église catholique insère volontiers les funérailles dans la célébration eucharistique. La messe en effet est, pour les catholiques, une manière de rendre présents la mort et la résurrection du Christ, double événement dans lequel le chrétien trouve la force de conduire sa vie dans la perspective confiante de Pâques.

Pour organiser des funérailles, contacter d’abord les sociétés des pompes funèbres, concernés. Ce sont elles qui contacteront les responsables des paroisses.

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